Apprends-moi, my stepbrother ∼ Kim Grey

apprends-moi

 

Titre VF : Apprends-moi, my stepbrother

Titre VO : 

Auteur : Kim Grey

Traducteur : 

Genre : Romance

Maison d’édition : addictives

Date de parution : 28/09/2017

Nombre de page : 594

Nombre de tome : intégrale

Prix : 14.90 €

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Ω

résumé

A 18 ans, Victoria a tout perdu : ses parents, sa vie à San Francisco et ses projets d’aller à l’université. Recueillie par l’ex-femme de son père, Alexandra, elle se retrouve catapultée dans une famille aux codes bien différents des siens : ses tatouages, ses Dr Martens et ses piercings font tache ! Mais elle est prête à tout pour s’intégrer, pour ne pas se retrouver seule au monde. Lorsqu’elle rencontre Zach, le fils du compagnon d’Alexandra, tout se complique dramatiquement. Il est motard, boxeur, colérique, magnifique et irrésistible. Le monde entier est contre eux, les codes, les conventions, et Victoria joue son avenir tout entier pour cette relation.

note

déception

mon-avis

editions addictives

Au sortir de la douche, je manque de lâcher ma serviette : à quelques mètres de moi, un type est en train de fouiller dans mes placards ! Il vient d’en sortir un T-shirt de metal orné d’un motard à tête de mort et le tourne dans tous les sens comme pour comprendre sous quel angle on apprécie le mieux le dessin. Il n’est pas gêné, cet électricien ! Je noue ma serviette comme je peux et me plante au milieu de la chambre.

– Tout va bien ? Vous cherchez quelque chose de précis ? Vous voulez peut-être que je vous montre où sont mes culottes ?

Après des mois de lectures sur ce roman, je peux dire que je n’ai pas tellement accroché. D’où le fait que je l’ai souvent laissé de côté. 

Pour commencer, si j’avais lu ce roman sous forme de tomes j’aurais certainement abandonné ma lecture à la fin du premier tome. Je n’ai absolument pas accroché à cette histoire que j’ai trouvé mignonne par moments mais tellement cliché et gnan-gnan. Les personnages principaux n’arrêtaient pas de se « fuir », un coup je t’embrasse et la seconde d’après je t’ignore , pendant une bonne partie l’auteure nous trimbale de cette manière et c’est franchement lassant, ça n’avance pas.

Une fois les choses faites, ça devient un peu plus intéressant. En fait à partir du moment où ils arrivent à New York. On y rencontre de nouveaux personnages ultra-intéressant. Mais toujours ce petit bémol, à chaque fin de journée il faut des scènes de sexe ! À petites doses OK mais là franchement j’ai fini par sauté tous ces passages.

Enfin bon, je ne dis pas que c’est un mauvais roman et je suis certaine que beaucoup ont appréciés mais pour moi ça n’a pas été le cas, j’en attendait beaucoup plus et c’est fortement dommage.

Perdue et retrouvée ∼ Cat Clarke

perdue et retrouvée

 

Titre VF : Perdue et retrouvée

Titre VO : The lost and the found

Auteur : Cat Clarke

Traducteur : Alexandra Maillard

Genre : Contemporaine

Maison d’édition : Robert Laffont

Date de parution : 23/04/2015

Nombre de page : 406

Nombre de tome : 

Prix : 17.90 €

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Ω

résumé

PERDUE. Quand Laurel Logan, 6 ans, a été kidnappée, seule sa petite soeur en a été témoin. Toute l’enfance de Faith a été façonnée par la disparition de Laurel : de la séparation de ses parents à la présence constante des médias, en passant par celle de ces soi-disant amis qui ne veulent que lui parler de sa soeur. RETROUVEE. Treize ans plus tard, une jeune femme est retrouvée dans le jardin de l’ancienne maison des Logan, totalement déboussolée et serrant dans ses bras l’ours en peluche avec lequel Laurel a disparu.
Laurel est enfin de retour chez elle, saine et sauve. Faith avait toujours rêvé de revoir sa soeur, sans oser vraiment croire que cela arriverait. Mais une série troublante d’événements isole Faith et la pousse à la paranoïa : ce que l’on a perdu peut-il réellement être retrouvé ?

note

déception

mon-avis

robert laffont

Mais ma sœur et moi connaissons la vérité. Nous savons que parfois, nous devons faire ce qu’il est nécessaire pour protéger notre famille dans la vie.

Alors voilà, cela faisait quelques années que je laissais ce livre pourrir dans ma PAL en me disant qu’un jour il faudrait que je le sorte de là étant donné qu’il m’intriguait pas mal et que j’avais vu de très bon avis dessus. Comme vous pouvez le savoir je me fais une PAL PRIORITAIRE où je mets pas mal de bouquins afin d’avoir un large choix de lecture et donc en faisant une « lecture aléatoire » sur Livraddict ce roman en est ressorti.

Et ce fut une déception. J’avais lu  « Confusion » de la même auteur que j’avais adoré. Mais ici tout est prévisible. Dès les premières lignes. Et c’est bien dommage, car l’histoire déborde de potentiel. On a donc une jeune fille nommée Faith, sa sœur Laurel ayant été enlevée à l’âge 6 ans, sa famille en a beaucoup souffert et Faith a donc toujours vécue dans l’ombre de Laurel. Je pensais avant de commencer ma lecture qu’on suivrait Laurel dans son histoire depuis son enlèvement à son retour à la maison. Mais rien de tout cela ne se passe puisqu’en fait on suit Faith face aux difficultés du retour de sa sœur. J’ai eu beaucoup de peine pour elle car depuis toute petite elle a vécu en second plan, même après le retour de Laurel, tout le monde n’avait d’yeux que pour elle.

Cependant, je n’ai pas du tout apprécié le comportement de tous les personnages , que ce soit de la mère qui est mentalement dérangée depuis la disparition de Laurel mais aussi à son retour et qui s’en prend souvent à Faith, ou le père reléguant son petit ami au second plan depuis le retour de Laurel, en passant par Faith qui avait parfois des comportements excessifs, sans parler des personnages secondaires tels que Martha ou Thomas. Et cette fameuse Laurel n’en parlons même pas, elle est tellement bizarre, à cacher beaucoup trop de choses. Alors ok, elle à subit un grand traumatisme, etc.. Mais ce que je trouve étrange c’est qu’elle en retire énormément de profit pour être honnête. Et il faut dire que son discours : « Il m’a relâchée mais je ne me souviens pas de son visage » n’était pas du tout convaincant de mon point de vue.

Comme je disais plus haut l’histoire est plutôt prometteuse, mais trop prévisible dans le sens où Cat Clarke nous balance certaines révélations trop tôt dans le récit et donc dès les premiers chapitres on se doute de la fin. De plus, je me suis parfois forcé à le lire, pour le terminer au plus vite, car je m’ennuyais fermement, tout de même je voulais savoir le fin mot de l’histoire pour voir si j’avais raison ou non.

En conclusion je n’ai pas du tout apprécié ma lecture, ce qui est fort dommage.  

Nightfall ∼ Jake Halpern & Peter Kujawinski

Nightfall

Titre VF : Nightfall

Titre VO : Nightfall

Auteur : Jake Halpern & Peter Kujawinski

Traducteur : Hélène Zilberait

Genre : Jeunesse

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Date de parution : 06/04/2017

Nombre de page : 320

Nombre de tome : 

Prix : 17.90 €

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Ω

résumé

Les habitants se préparent à abandonner leurs maisons, mais Marine, Kana et Liam ne croient pas aux légendes de leurs parents. Ils décident de rester dans le village. Alors que la Nuit les enveloppe, ils découvrent avec horreur qu’ils n’auraient vraiment pas dû…

note

déception

mon-avis

pocket jeunesse

Partez, dit la voix. Ils ont senti votre odeur et ils viennent vous chercher.  

J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire dès le départ. Mais c’est un roman qui se lit facilement du fait du mystère qui s’accompagne à une atmosphère assez dérangeante liée aux traditions de ce village. On veut donc savoir ce qui se trame, c’est qui m’a fait continuer ma lecture.

Mais malgré les personnages attachant je n’ai pas réellement accroché à l’histoire, qui de mon point de vue n’est pas assez exploitée, elle a pourtant bien du potentiel. C’est dommage. Peut-être est-ce dû au fait que c’était trop jeunesse pour moi, je ne sais pas. En tout cas je conseillerais ce livre aux adolescents ne recherchant pas de complexité.

Les assassins ∼ R.J Ellory

les assassins

Titre VF : Les assassins

Titre VO : The anniversary man

Auteur : Roger John Ellory

Traducteur : Clément Baude

Genre : Thriller

Maison d’édition : Livre de Poche

Date de parution : 05/10/2016

Nombre de page : 672

Nombre de tome : /

Prix : 8.60 €

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Ω

résumé

Sur 18.000 meurtres par an aux Etats-Unis, seulement 200 sont le fait de tueurs en série. Aussi les forces de police ne privilégient-elles que rarement la piste du serial killer. Lorsque quatre homicides sont commis en quinze jours à New York, selon des modes opératoires complètement différents, personne ne pense à faire le lien entre eux. Personne, sauf John Costello. Documentaliste au City Herald, et véritable encyclopédie vivante des serial killers, celui-ci découvre en effet qu’ils ont été commis à la date anniversaire d’un meurtre passé, oeuvre chaque fois d’un tueur en série célèbre, selon une procédure rigoureusement identique. Y aurait-il dans la ville un serial killer qui s’inspire de ses prédécesseurs pour leur rendre un funèbre hommage ?

note

Bonne lecture

mon-avis

livre de poche

Il y a quelque chose, chez l’être humain, qu’une image ne peut jamais saisir, pas même un film : sa personnalité, la vibration autour de lui, son odeur, ses pensées, toutes ces choses que l’on peut ressentir.

Le premier thriller que je lis de cet auteur, je ne sais pas trop quoi penser , sinon que je suis un peu déçu, je le classerai même entre déception et bonne lecture, car j’ai quand même passé un bon moment.

Premièrement, ayant beaucoup entendu parler des romans de R.J Ellory, je m’attendais à quelque chose d’intense qui m’aurait gardé en haleine et qui m’aurait tenu jusqu’à la fin. Au lieu de quoi je pouvais très bien me passer de ma lecture pendant plusieurs jours. Non pas que je n’ai pas apprécié, j’ai passé un bon moment avec cette lecture mais il me manque ce côté addictif , suspens. Je pense également que le fait qu’il y ait trop de détails et donc de longueurs, laisse le lecteur se détacher progressivement du récit. Cependant, ce même côté m’a amené à vouloir terminer ma lecture pour savoir de quelle manière cette enquête allait finir.

L’enquête menée par l’inspecteur Ray Irving est l’une des plus compliquées dont ce dernier a dû s’occuper. Elle avance très lentement sans aucune piste concrète ni valable et ce durant tout le roman. Il faut dire que l’auteur de ces crimes ne laisse rien au hasard et s’il y a quelque chose à trouver, c’est que le tueur l’a laissé délibérément. Toutefois, je ne m’attendais absolument pas à ce que ça se termine de cette manière. Je me suis même demandé si cette enquête ne finirait pas classée.

En conclusion, un thriller assez différent des autres mais tout de même assez plaisant. Beaucoup de longueur, mais l’enquête reste bien menée. Apparemment, « Les assassins » n’est pas le meilleur roman de R.J Ellory alors je pense en lire d’autres.

Corps manquants de Colleen McCullough

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Titre : Corps manquants

Auteur : Colleen McCullough

Traducteur : Jean-Paul Mourlon

Genre : Thriller

Maison d’édition : L’Archipel

Date de parution : 20/06/2007

Nombre de page : 362

Nombre de tome : /

Prix : 22.34 €

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Ω

résumé

1965. Connecticut. Au HUG, centre de recherche neurologique, deux employés découvrent, dans la chambre froide où l’on dépose les animaux de laboratoire avant incinération, un sac contenant un corps sans tête, coupé en deux… Chargé de l’affaire, le lieutenant Carmine Delmonico établit rapidement le lien avec des meurtres sadiques récemment perpétrés. Toutes les victimes – des femmes – ont en commun leur jeune âge et leur couleur de peau. L’enquête piétine. Une seule certitude, le coupable appartient au HUG. La tension monte en ville sous la pression des activistes noirs, convaincus qu’il s’agit de crimes racistes. Vite, un coupable, avant que d’autres corps ne manquent à l’appel…

note

2

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Il est bien plus dangereux. Pensez à lui comme à un félin en pleine forme – un léopard, disons. Il est paisiblement installé sur une branche, dans un arbre en bordure de la forêt, bien caché, observant un troupeau d’antilopes qui broutent l’herbe et se rapprochent peu à peu. Et pour lui, chacune est différente des autres ; sa cible est une bête bien précise. Oh, il est très patient ! Les antilopes passent en dessous de lui, sans le voir ni sentir son odeur, et puis voilà qu’arrive celle qu’il guette. Il frappe si rapidement que les autres ont à peine le temps de se mettre à courir qu’il est déjà remonté dans son arbre avec sa proie, dont il a brisé la nuque.

En commençant ma lecture, je m’attendais à être conquise mais si l’histoire est plutôt prenante , il y a des longueurs interminables ! Il y a tellement de descriptions sur chaque chose que s’en devient lassant. Et au final même au milieu du bouquin l’enquête n’avance pas. Pour moi, ce n’est pas possible ! Un thriller a besoin de malmener ses lecteurs, de leur donner des suspects potentiels mais ici RIEN de tout cela et c’est tellement frustrant, il n’y a aucun retournement de situations, alors voilà je suis aller voir quelques chroniques et apparemment on ne s’attend pas du tout à ce que ce soit cette personne, le tueur, c’est d’ailleurs par pur hasard que le lieutenant Delmonico va découvrir qui est-ce. Donc voilà je perds mon temps plus qu’autre chose avec cette lecture, je préfère donc abandonné.

Les Descendants, tome 1 : L’île de l’oubli de Melissa de la Cruz

l'île de l'oubli
fiche-technique

Titre : Les Descendants,tome 1 : l’île de l’oubli

Auteur : Melissa de la Cruz

Genre : Fantasy, Jeunesse

Maison d’édition : Hachette

Date de parution : 01/07/2015

Nombre de page : 304

Nombre de tome : 3

Prix : 15.90 €

résumé

Il y a vingt ans, tous les Méchants de tous les contes de fée ont été bannis du royaume d’Auradon et réduits à vivre dans une prison sur une île. Et quand on parle de Méchants, c’est vraiment de la crème de la crème de la méchanceté : Cruella d’Enfer, Maléfique, la Méchante Reine, Jafar et compagnie… Cette île est protégée par une force magique qui maintient les prisonniers et leurs enfants en captivité. La vie y est sinistre et monotone. C’est un endroit sale, qu’on laisse pourrir, oublié du reste du monde… Cependant, dans les profondeurs de la mystérieuse Forteresse Interdite, un œil de Dragon est caché. Il est la clé de leur liberté. Or, seul le Descendant le plus intelligent, le plus mauvais et le plus diabolique pourra le trouver… à moins qu’il s’agisse d’une Descendante ?

note

2

mon-avis

hachette romans

La Belle avait une pile de bouquins à lire sur sa table de chevet qui menaçait dangereusement de s’écrouler chaque matin sur Mrs Samovar,  quand celle-ci apportait le petit déjeuner.

Avant toute chose, je souhaite féliciter les éditions et tout principalement l’illustrateur et le designer pour cette formidable couverture qui m’a de suite attirée et les belles illustrations qui ornent le livre. Je vous mets quelques photos histoire de vous montrer.

     

Cela rend la lecture encore plus agréable et pour moi ce sont de petits détails qui ont une grande importance.

En lisant le résumé, j’ai été encore plus attirée par ce roman. De plus, l’univers Disney on ne s’en lasse jamais quel que soit notre âge. Alors, je ne savais pas vraiment à quoi je devais m’attendre exactement dans ce roman mais je pensais que Mélissa de la Cruz nous offrirais un univers Disney à sa façon ! Habituée à ses bons romans, je ne pensais pas être déçue par celui-ci. Néanmoins, même si certains éléments du livre m’ont déçu , c’est un roman qui se lit très rapidement.

Je m’attendais des personnages qu’ils soient encore plus cruels que leurs parents mais alors là vous pourrez vous fourrer le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Bien sûr sans magie ils ne peuvent pas faire grand-chose mais quand même, on est au ras des pâquerettes. Mal, la fille de Maléfique est censée être celle qui est craint de tous sur l’île comme sa mère, mais euh.. comment dire ? Je dirais plutôt qu’elle est blagueuse point. Je n’ai d’ailleurs pas apprécié le côté querelle de petite fille, j’avais l’impression de me retrouver à la maternelle : « tu m’as pas invitée à ton anniversaire alors je vais me venger » ! Je me suis tout de même plus ou moins attacher à la jeune fille qui subit une forme de maltraitance morale par sa mère qui lui répète que c’est une moins que rien et qu’elle la déçoit à longueur de temps. Jay, Evie et Carlos sont moins « diaboliques » que Mal mais ils n’en restent pas moins méchants, sauf Evie qui incarne plus le côté princesse.

Ce qui a fait que j’ai continué ma lecture, est que l’histoire est prometteuse. J’avais envie de savoir comment ils allaient retrouver le sceptre de Maléfique, et comment ils allaient procéder , en se mettant des bâtons dans les roues ou en s’entraidant ? J’ai toutefois bien aimé avoir des chapitres concernant les activités extérieures de l’île comme des nouvelles des royaumes tels que celui de la belle et la bête , Ariel , Cendrillon , Raiponce .. Enfin dans ce tome alternons entre l’île de l’Oubli et le royaume de la Belle et la Bête ainsi que celui d’Aurore et du prince Philippe.

En conclusion, un univers qui n’a pas été assez exploité par l’auteur et qui a pourtant une intrigue prometteuse. C’est dommage, je m’attendais à beaucoup mieux de la part de l’auteur. Des personnages assez enfantins malgré leurs 16 ans et surtout l’auteur n’a pas développé le côté magie de l’histoire. En somme, une déception. Malheureusement, bien que le roman offre un merveilleux visuel, cela ne fait pas tout. Je ne pense d’ailleurs pas lire le second tome.

Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous, tome 1 de Nathalie Stragier

ne ramenez jamais une fille du futur chez vous

fiche-technique

Titre : Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous

Auteur : Nathalie Stragier

Genre :  Jeunesse, Science-fiction

Maison d’édition-Collection : Syros

Date de parution : 07/01/2016

Nombre de pages : 427

Nombre de tomes : 3

Prix : 16.90 €

résumé

Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous… Parce que pour elle, votre monde ressemble au Moyen Age. … Parce qu’elle sera envahissante, agaçante, imprévisible. … Mais surtout, parce qu’elle détient un secret terrible. Et c’est a vous qu’elle va le confier.

note

2

mon-avis

syrosVingt minutes plus tard, j’ai entendu s’ouvrir le verrou de la salle de bains.
La fille qui en est sortie était incroyablement belle. Ses cheveux bruns frisés tombaient en cascade sur ses épaules et semblaient aussi doux que la soie. Sa peau était lisse, sans aucune imperfection, d’un joli teint cuivré. Elle avait de longs cils noirs qui soulignaient ses yeux marron clair avec des petites touches de vert. À vrai dire, son visage n’était pas parfait. Son nez était un peu long, légèrement busqué, et son menton plutôt carré. Mais de toute sa personne émanait une impression de vie éclatante. En la voyant, on avait l’impression de l’aimer déjà. Mon pantalon de sport était trop court pour elle et n’importe qui aurait eu l’air d’un clown avec ça sur les hanches. Sur elle, il tombait comme un vêtement de haute couture un peu décalé. On devinait ses jambes longues et musclées. Moi qui détestait les pieds de tout le monde, je constatais pour la première fois de ma vie que des pieds pouvaient être jolis.  On aurait dit un top-modèle. Une fille qui défile sur les podiums du monde entier et que les magazines paient une fortune pour avoir le privilège de la mettre en couverture. Non. Top-modèle, ce n’était pas encore assez bien pour elle. Elle ressemblait à une créature divine. Une déesse de la mythologie. Aphrodite sortant de l’océan.

Je n’ai pas vraiment réussi à accrocher à ce livre et pourtant, à ma grande surprise, c’est un livre qui se lit relativement vite. Ce doit être parce que c’est bien écrit. Mais l’histoire ne m’a pas convaincue, je me suis ennuyée, Pénélope est une fille qui vient du futur mais on dirait qu’elle vient plutôt du Moyen-Âge ! Apparemment, c’est censé faire rire mais bon personnellement, ça ne m’est pas arrivé souvent pendant ma lecture. Enfin, pour mieux vous expliquer ma déception je vais commenter les 2 parties du livre. Je n’ai pas beaucoup de chose à dire, mais allons-y.

Première partie : la mise en place des éléments. 

Je n’ai vraiment pas été convaincue par cette première partie qui est un peu trop longue à mon goût. On n’apprend pas grand-chose, le suspens est présent mais je trouve qu’ici c’est négatif car il y en a beaucoup trop, ça en devient presque ennuyant et surtout énervant, ah ça oui ! Pénélope ne veut rien dire donc on entre dans un cercle vicieux et on tourne en rond pendant toute cette première partie. Pénélope est assez marrante sur certains points, mais il y a trop de barrières, ce qui fait que nous, nous ne rions pas. Du moins jusqu’à la révélation du secret qui arrive à la moitié du livre : c’est lui qui va faire la transition entre la première et la deuxième partie.

Deuxième partie : la bombe est lâchée. 

À partir du moment où le secret a été révélé et la bombe lâchée, j’ai voulu en savoir plus et j’ai vraiment commencé à apprécier ma lecture. On va avoir énormément de réponses à nos questions, ce qui dans la première partie était limité, et là, on va pouvoir rigoler un peu. Le futur où vit Pénélope est assez étrange, les femmes se reproduisent entre elles, elles se baignent nues dans la Seine qui leur sert de piscine, elle peuvent se promener nues dans la rue et pour elles, 2019 c’est le Moyen-Âge, enfin voilà, je ne me vois pas dans cette époque. Cette deuxième partie est assez marrante et il y a beaucoup plus d’action, dans la première il n’y en avait pas vraiment.

Bref, comme on peut le voir, j’ai beaucoup aimé la deuxième partie de ce roman mais cela n’empêche pas que j’ai été déçue. J’en attendais tellement et je pensais rire aux éclats. Au départ, j’aurais qualifié ma lecture de grosse déception, mais cette deuxième partie, oui encore elle, l’a fait un peu remonter dans mon estime, malheureusement je la classerais quand même dans les déceptions, cela aurait été tellement mieux si tout le livre avait été comme cette seconde partie. Je ne pense pas acheter la suite et pourtant niveau déception, je suis très indulgente et je donne souvent une seconde chance avec le deuxième tome voire une troisième avec le troisième tome, mais pas ici.

Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas de Tahereh Mafi

 

fiche-technique

Titre : Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas

Auteur : Tahereh Mafi

Genre : Jeunesse, Science-Fiction

Maison d’édition : Michel Lafon

Date de parution : 18/10/2012

Nombre de pages : 373 pages

Nombre de tomes : 3

Prix : 16.95 €

résumé

“Ne me touche pas” je lui murmure. Je mens mais ne lui dis pas. J’aimerai qu’il me touche mais ne lui dirais jamais. Des choses arrivent quand on me touche. Des choses étranges. De mauvaises choses. Des choses mortelles. Juliette est enfermée depuis 264 jours dans une forteresse pour un accident. Un crime. 264 jours sans parler ni toucher personne. Jusqu’au moment où un gardien vient partager sa cellule. Derrière sa nouvelle apparence, elle le reconnaît : c’est Adam, celui qu’elle aime en secret depuis toujours.

note

2

mon-avis

Les couvertures des livres de cette série m’ont tout de suite attirée, je les trouve vraiment magnifiques. Elles auraient, à elles seules, pu me convaincre de me lancer dans la saga Insaisissable mais, pour ne rien gâcher, j’ai lu de nombreuses critiques positives sur la blogosphère. Malheureusement, j’ai été déçue par ma lecture. Disons plutôt que je ne sais pas trop que penser de ce livre, en tous cas, ce n’est pas ce à quoi je m’attendais.

L’histoire commence dans une cellule de prison. Juliette est enfermée depuis 264 jours, sans contact humain d’aucune sorte. On fait entrer un jeune homme, Adam, dans sa cellule, elle ne sait pas vraiment comment réagir ; en effet, elle ne peut toucher personne de sa peau nue sans risquer de tuer. Après quelques jours, Adam révèle qui il est vraiment : un soldat du Rétablissement, l’organisation qui a pris le pouvoir sur terre. Warner, son chef, est fasciné par Juliette à cause de son étrange don, il veut qu’elle le mette à sa disposition. Juliette n’est pourtant pas prête à céder à cet odieux personnage et elle commence à se rapprocher d’Adam, à se rappeler qu’elle le connaissait dans sa jeunesse. Le postulat de départ est assez intéressant ; le fait que personne ne puisse toucher Juliette sans risquer sa vie me plaisait beaucoup, je voyais là quelque chose d’original et de prometteur. J’étais un peu perplexe en lisant la première partie du roman, car l’auteure ne nous offre que très peu d’indices sur l’état du monde dans lequel se déroule le récit. J’ose imaginer que c’est en partie pour que le lecteur soit dans le même état que Juliette : coupé de la réalité en dehors de sa cellule. Il n’empêche que j’avais envie d’en savoir plus sur le contexte de l’histoire, comprendre ce qui s’était passé sur terre pour que la terre soit dans cet état (le fait que les oiseaux ont disparus est évoqué). Malheureusement, les réponses à mes questions ne m’ont pas été offertes ; on commence tout juste à apercevoir une explication, j’imagine que l’on en saura plus dans un prochain tome. L’accent est plutôt mis sur le triangle de personnages comprenant Juliette, Adam et Warner. Leurs interactions sont plutôt intéressantes à suivre, même si je dois admettre que je n’ai pas compris certaines de leurs réactions. J’ai eu l’impression que les événements s’enchaînaient un peu trop vite, parfois sans raison, sans réelle logique. Là où l’auteure a réussi son coup, c’est qu’elle a su mettre le doute dans mon esprit quant aux intentions des deux garçons, que l’on ne voit qu’au travers des yeux de Juliette. La seconde partie de l’histoire m’a plus convaincue, a apporté des enjeux à l’intrigue et a éveillé mon intérêt sur le côté science-fiction de l’histoire.

La plume de Tahereh Mafi est belle, très belle même. Les répétions, les ratures m’ont certes déstabilisée au départ, mais j’ai été contente de trouver ce genre d’essais stylistiques dans un roman jeunesse. Certains trouveront peut-être que ce style est lourd, qu’il ne correspond pas au type d’histoire que le récit relate, mais pour moi, il a apporté un plus à l’œuvre.

J’ai conscience que cette chronique est un peu brouillonne, mais je pense qu’elle reflète bien mon avis confus sur cette lecture. J’ai l’intention de lire le tome 2 (assez rapidement d’ailleurs vu que je l’ai emprunté en même temps que le premier à la bibliothèque), mais si le début ne me passionne pas, je risque fortement d’abandonner ma lecture.

Cette chronique figure également sur le blog foxyreader

La voleuse de livres de Markus Zusak

la voleuse de livres

 

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Titre : La voleuse de livres

Auteur : Markus Zusak

Genre :  Drame, Historique

Maison d’édition : Pocket

Date de parution : 20/03/2008

Nombre de page : 633

Nombre de tome : 1

Prix : 8.20 €

résumé

Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s’est arrêtée. Est-ce son destin d’orpheline dans l’Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt inhabituel ou bien sa force extraordinaire face aux événements ? A moins que ce ne soit son secret… Celui qui l’a aidée à survivre. Celui qui a même inspiré à la Mort ce si joli surnom : la Voleuse de livres…

note

2

 

mon-avis

pocket

Attention déception à prendre à la légère. 

Pour commencer, j’ai abandonné ce livre (ça me frustre…), chose que je n’ai jamais faite jusqu’ici car ce n’est absolument pas dans mes principes, mais là ça faisait déjà une semaine que je l’avais commencé, j’en étais à 15 % de ma lecture et je n’accrochais absolument pas, c’est un livre super particulier à lire. Soit on accroche dès la première ligne, soit on abandonne de suite ; personnellement j’ai essayé mais sans grand succès, c’est la première fois que je lis ce genre de roman et ce n’est absolument pas une déception au niveau du genre mais plutôt au niveau du type de narration. Pourquoi ? Eh bien, comme je le disais, c’est particulier, car c’est la Mort qui nous raconte une histoire, qui, vous l’aurez compris, parle de la voleuse de livres qu’elle a croisée à trois reprises. Déjà, première déception, je pensais que l’histoire serait racontée par cette petite fille, là c’est la Mort et c’est assez particulier, pourtant l’histoire est très bien, mais ce type de narration est difficile pour réussir à accrocher. De plus, ce n’est pas un livre à mettre dans les mains de n’importe qui, du moins entre les mains de mineurs, c’est un livre complexe dont il faut comprendre les propos et qui, je pense, n’est pas accessible à des adolescents, enfin je ne trouve pas d’autres tournures de phrase pour dire qu’en gros, il faut avoir un peu plus de recul qu’au moment de l’adolescence ! Enfin voilà, surtout ne vous arrêtez pas à ma chronique puisque, comme je le disais, avec ce roman c’est soit tout noir soit tout blanc, j’ai pu voir des avis très positifs comme d’autres très négatifs, cela dépend des individus donc tentez l’expérience et voyez par vous même 🙂 !

Afterworlds de Scott Westerfeld

te succomber

 

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Titre : Afterwolrds

Auteur : Scott Westerfeld

Genre : Jeunesse, Fantastique

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Date de parution : 05/03/2015

Nombre de pages : 670 pages

Nombre de tomes : 1

Prix : 18.90 €

résumé

Darcy Patel, dix-huit ans, a mis l’université entre parenthèses. Elle vient de signer un contrat pour publier son premier roman, « Afterworlds ». L’histoire de Lizzie, une ado qui échappe de justesse à une attaque terroriste en simulant la mort.
Tandis que la jeune Darcy écrit et plonge dans l’effervescence de la scène littéraire new-yorkaise, Lizzie passe de notre monde à un monde intermédiaire, un lieu entre la vie et la mort, où elle va dénouer les secrets du passé… Et rencontrer le garçon de ses rêves…

note

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mon-avis

J’avais vraiment hâte de lire ce livre car Scott Westerfeld est un auteur que j’apprécie tout particulièrement. Je vous recommande d’ailleurs ses différentes séries (Uglies, Midnighters, Leviathan). J’avais donc de grosses attentes concernant ce roman. Dire que je ne l’ai pas aimé du tout serait un mensonge, mais j’ai été déçue par ma lecture. Il m’a manqué ce petit « truc » spécial que je retrouve normalement dans les livres de cet auteur.

Le roman contient en réalité deux histoires bien distinctes. D’un côté, on suit Darcy, une jeune écrivaine partie à l’aventure à New York. Elle arrive dans cette nouvelle ville, découvre le monde de l’édition, rencontre d’autres auteurs ; elle a quelques mois pour corriger son roman et en écrire la suite. De l’autre, on fait la connaissance de Lizzie, le personnage principal du premier roman de Darcy. Lizzie est la seule survivante d’un attentat dans un aéroport. Elle a réussi à rester en vie en faisant la morte, mais elle est alors passée dans l’envers du décor, une dimension où l’on peut voir les fantômes et se déplacer à son gré. Elle peut désormais voir tous les fantômes qu’elle croise et basculer quand elle le souhaite dans l’envers du décor. À chaque chapitre, on alterne entre les points de vue des deux jeunes filles. C’est un peu difficile de rentrer dans l’histoire au début à cause de cette alternance (il n’existe aucun lien entre les deux histoires excepté le fait que celle de Lizzie est écrite par Darcy), mais on s’habitue au fur et mesure des pages. J’ai d’abord préféré suivre les aventures de Darcy, ensuite j’ai accroché de la même manière aux deux narrations. J’ai bien aimé la mise en abîme du livre, le fait que l’on en apprenne plus sur ce que les éditeurs demandent à leurs auteurs. On voit bien que Darcy doute de ses capacités en tant qu’auteur, qu’il ne suffit pas de voir son manuscrit acheté par une maison d’édition pour être sûr qu’un roman voit vraiment le jour. J’ai aussi trouvé que la relation gay qu’elle entretient avec une autre jeune auteure était bien menée, et surtout exposée comme totalement normale (pas de réflexion sur les couples homosexuels). Malheureusement, je ne me suis pas vraiment attachée à Darcy, ni à sa petite amie Imogen (que je ne voyais pas comme une personne très agréable à vivre). Lizzie m’a plus convaincue en tant que personnage, elle essaie de faire de son mieux, d’écouter ses sentiments, de faire ce qu’elle croit juste. Le côté fantastique, l’univers des fantômes était assez sympa dans son histoire, même si j’ai eu du mal à définir totalement ce qu’étaient les fantômes : ils sont censés n’être là que grâce aux souvenirs des vivants, mais ils semblent quand même avoir une vie propre. Malgré le côté sympathique et le fait que j’ai apprécié suivre les deux histoires en parallèle, j’ai eu l’impression de rester en retrait de ce qui se passait, je ne me sentais pas concernée. Pire que cela, je n’avais pas spécialement envie de savoir la suite, j’aurais très bien pu refermer le livre sans en connaître la fin, je pense que celle-ci ne m’aurait pas manqué.

En revanche, j’ai trouvé intéressant de lire les remarques de Darcy sur son livre et les changements qu’elle souhaite y apporter et en même temps découvrir l’histoire de ce même livre. De plus, l’auteur a pris soin d’adopter un style différent selon le point de vue de l’histoire, comme si l’on lisait du Scott Westerfeld pour les chapitres sur Darcy, et du Darcy pour ceux sur Lizzie.

Je ne sais si je dois recommander ce livre ou non. Les amateurs des romans de Scott Westerfeld voudront probablement se forger leur propre avis, ceux qui ne le connaissent pas devraient plutôt se lancer dans un autre de ses romans.

Cette chronique figure également sur le blog foxyreader