Dreamcatcher ~ Stephen King

Résumé :

Quatre amis se retrouvent annuellement pour une partie de chasse dans une forêt du Maine. Elle fut jadis leur terrain d’aventures, en compagnie de Duddits, l’enfant mongolien qu’ils avaient adopté comme un petit frère. Et le théâtre, aussi, d’événements qu’ils se sont efforcés d’oublier. Mais les mystères ressurgissent, sous la forme de présences étranges et menaçantes que l’armée a entrepris de surveiller de près.
Au point de vouloir éliminer tous ceux qui ont pu être au contact de la chose… Avec ce nouveau chef-d’œuvre, déjà porté à l’écran, Stephen King, qui est en train de conquérir une deuxième génération de lecteurs, démontre qu’il est toujours le maître absolu de l’épouvante.

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Mon avis :

Dreamcatcher de Stephen King est un roman qui mélange habilement horreur et science-fiction, offrant une expérience de lecture à la fois intrigante et troublante.

L’histoire suit quatre amis d’enfance liés par des pouvoirs surnaturels et un traumatisme partagé, qui se retrouvent confrontés à une menace extraterrestre dans les forêts enneigées du Maine.

King excelle une fois de plus dans la création de personnages profondément humains et de dialogues authentiques. Les flashbacks enrichissent la trame narrative, ajoutant de la profondeur aux protagonistes et à leur amitié. L’atmosphère oppressante et les descriptions détaillées des créatures extraterrestres contribuent à maintenir une tension constante.

Cependant, Dreamcatcher présente quelques longueurs et des passages parfois confus, ce qui peut ralentir le rythme de la lecture. La complexité de l’intrigue et le mélange des genres peuvent dérouter certains lecteurs, mais pour les fans de King, c’est un autre exemple de sa capacité à explorer des thèmes variés avec une plume unique.

En somme, Dreamcatcher est un roman captivant avec ses moments forts et ses imperfections. Il séduira les amateurs de Stephen King et ceux qui apprécient les récits où l’horreur et la science-fiction se rencontrent.

« Parce qu’ils n’étaient pas de pauvres petits E. T. sans défense, attendant que quelqu’un leur donne une carte de téléphone pour qu’ils puissent appeler chez eux, parce qu’ils étaient une maladie. Ils étaient le cancer. »